Ma réponse sera brève: Personne.
En fait, c'est la conclusion que j'en tire après avoir passé une semaine avec une Apple Watch au poignet.
Dans le cadre de mon emploi, nous avons fait l'acquisition du nouveau gadget d'Apple pour en faire l'essai. Depuis vendredi dernier jusqu'à ce matin, j'ai donc pu la tester.
Premier constat, la montre (si on peut l'appeler ainsi) ne peut absolument rien faire si elle n'est pas jumelé à un iPhone, même pas affichée l'heure.
Ensuite, il ne faut pas que le iPhone en question soit trop loin de la montre, car le signal se perd.
Résultat: la montre vous affiche les notifications qui entre sur votre téléphone lorsque celui-ci est en veille et que vous n'étiez pas trop loin. Donc, si votre téléphone n'était pas en veille, la notification n'entre pas sur la montre, mais sur votre téléphone. Si vous êtes allé à la salle de bain, vous devez quand même vérifier sur votre iPhone si vous n'avez pas manqué un appel. Bref, les deux sont inséparables.
En fait, je n'ai pas réussi à faire quelque chose avec la Apple Watch que je ne ferais pas avec mon iPhone, sauf prendre mon rythme cardiaque et me faire avertir de me lever de mon bureau à chaque heure. On s'entend que ces deux options ne sont pas indispensables dans la vie.
Recevoir un appel? Le son ne s'est pas avéré concluant, ni pour moi ni pour mes interlocuteurs. Envoyer un texto? Il faut choisir parmi des réponses pré-faites et il est facile de se tromper de réponse. En cas d'erreur, il faut prendre le téléphone pour corriger en envoyant un autre texto qui débutera par « Désolée, je voulais dire.... ». Recevoir des notifications de médias sociaux en direct? Est-ce que c'est vraiment si nécessaire? Et même pour certaines notifications, le message est simplement que « le contenu est trop complexe pour être affiché sur votre Apple Watch ». Autre retour au iPhone...
Quant aux possibilités sportives (calcul de calories, objectifs d'entraînement et autres), je n'ai rien trouvé de plus que ce que j'ai déjà sur l'application que j'utilise.
Je suis la fille qui avait fait des pieds et des mains pour se procurer un iPad lors de sa sortie en 2010. Je suis la fille qui travaille avec des produits Apple depuis plusieurs années et qui les adorent. Mais là, je suis vraiment déçue.
Dans le fond, je ne sais pas vraiment à quoi je m'attendais. Un son meilleur, une moins grande dépendance avec le iPhone, peut-être. Je regarde déjà l'heure sur mon téléphone. Je l'ai toujours avec moi. Est-ce que j'ai besoin d'avoir une montre au poignet pour démontrer mon appartenance à la « secte d'Apple »?
Je ne dis pas non à cette fameuse montre. Je dis attendons de voir la prochaine version. Pour l'instant, nous avons clairement une démonstration de la différence entre désir et besoin. Je ne crois pas que personne ait vraiment besoin d'un tel gadget, même beaucoup la désire!
Je suis ouverte aux commentaires et démonstrations de l'utilité qu'elle peut/pourrait avoir. Dites-moi!
vendredi 18 septembre 2015
mardi 15 septembre 2015
Enfants d'abord
« Pour Mme Annie, c'est enfants d'abord! »
Voici ce qu'a déclaré ma fille le soir en revenant de l'école, le 1er septembre dernier, jour de rentrée scolaire.
Ce soir, j'ai assisté à la traditionnelle rencontre de parents du début de l'année. WOW! Quelle enseignante passionnée! Je suis certaine que ma fille est entre de bonnes mains.
J'écris cela et en même temps, je me dis que cela ne devrait pas me surprendre. Dans une autre vie, alors que j'étais rédactrice en chef du site d'information en éducation, l'Infobourg, et du magazine l'École branchée, j'en ai côtoyé, des centaines, même des milliers d'enseignants passionnés.
Le Québec est rempli d'enseignants passionnés. Malheureusement, les médias s'acharnent à ne présenter que le côté sombre du système scolaire. Dans les médias, la rentrée s'est faite sur fond de moyens de pressions et de menaces de grève. À l'école de ma fille, je vois une équipe-école dédiée qui entame la nouvelle année avec beaucoup d'enthousiasme et de motivation. Je vois ma fille et ses amies qui me racontent leur journée à l'école avec du brillant dans les yeux!
On ne cesse de dire que l'éducation devrait être davantage valorisé au Québec et c'est vrai! Montrons les bons coups de l'école, présentons ces enseignants passionnés, ainsi que des élèves motivés! Des exemples, j'en ai tout plein en mémoire. Ce n'est pas en parlant de coupures budgétaires et de moyens de pression que l'on revalorisera l'éducation, que l'on encouragera les parents à accorder davantage d'importance à l'éducation de leurs enfants.
Le système scolaire est en manque de bonne presse. Moi, je dis qu'il y a des écoles où ça marche, où les enseignants ne sont pas blasés ni prêts à pénaliser les enfants pour des revendications syndicales, où parents et enseignants sont capables de travailler ensemble, en collaboration, pour le succès des enfants!
Cela ne veut pas dire que tout est rose, mais cessons de faire croire aux gens que tout est gris!
Voici ce qu'a déclaré ma fille le soir en revenant de l'école, le 1er septembre dernier, jour de rentrée scolaire.
Ce soir, j'ai assisté à la traditionnelle rencontre de parents du début de l'année. WOW! Quelle enseignante passionnée! Je suis certaine que ma fille est entre de bonnes mains.
J'écris cela et en même temps, je me dis que cela ne devrait pas me surprendre. Dans une autre vie, alors que j'étais rédactrice en chef du site d'information en éducation, l'Infobourg, et du magazine l'École branchée, j'en ai côtoyé, des centaines, même des milliers d'enseignants passionnés.
Le Québec est rempli d'enseignants passionnés. Malheureusement, les médias s'acharnent à ne présenter que le côté sombre du système scolaire. Dans les médias, la rentrée s'est faite sur fond de moyens de pressions et de menaces de grève. À l'école de ma fille, je vois une équipe-école dédiée qui entame la nouvelle année avec beaucoup d'enthousiasme et de motivation. Je vois ma fille et ses amies qui me racontent leur journée à l'école avec du brillant dans les yeux!
On ne cesse de dire que l'éducation devrait être davantage valorisé au Québec et c'est vrai! Montrons les bons coups de l'école, présentons ces enseignants passionnés, ainsi que des élèves motivés! Des exemples, j'en ai tout plein en mémoire. Ce n'est pas en parlant de coupures budgétaires et de moyens de pression que l'on revalorisera l'éducation, que l'on encouragera les parents à accorder davantage d'importance à l'éducation de leurs enfants.
Le système scolaire est en manque de bonne presse. Moi, je dis qu'il y a des écoles où ça marche, où les enseignants ne sont pas blasés ni prêts à pénaliser les enfants pour des revendications syndicales, où parents et enseignants sont capables de travailler ensemble, en collaboration, pour le succès des enfants!
Cela ne veut pas dire que tout est rose, mais cessons de faire croire aux gens que tout est gris!
mardi 1 septembre 2015
Bières disponibles
Comme la production va bon train et que de plus en plus de gens goûtent (et aiment ses bières), je publie ici une liste des sortes de bières qui sont disponibles présentement.
La liste sera mise à jour selon la production. Et je vais aussi éventuellement ajouter des détails concernant chaque bière.
Les 6 classiques
Les 6 classiques
- Chloé - bière blonde / pas disponible présentement
- White Paradise - bière blanche houblonnée
- OCBB - bière blanche orange et coriandre / OCBB édition spéciale avec thé aux citron/gimgembre
- Wiseman - bière weizen avec un fruit / présentement framboise et ananas
- Rough Red - bière rousse à la vanille
- La pirouette - bière IPA houblonnée
- Blonde au poivre
- Blonde houblonnée
- Weizen houblonnée
- IPA au café
- Brown Ale
- Blanche aux framboises
- Blanche aux bleuets
- Blanche aux framboises et mûres
- À venir
- Blanche au genévrier
dimanche 30 mars 2014
J'ai voté
Après avoir exprimé ma frustration à propos de la situation actuelle sur ce blogue, j'ai poussé ma réflexion plus loin.
J'ai demandé l'aide de la Boussole électorale.
Le résultat m'a confirmé mes propres impressions. Les trois principaux partis ne sont pas tout à fait en ligne avec ma vision des choses. Ma position personnelle ressemble davantage à celle du Parti conservateur du Québec et d'Adrien Pouliot, donc plus à droite. Cela explique probablement pourquoi je me cherche toujours un peu.
J'ai demandé l'aide de la Boussole électorale.
Le résultat m'a confirmé mes propres impressions. Les trois principaux partis ne sont pas tout à fait en ligne avec ma vision des choses. Ma position personnelle ressemble davantage à celle du Parti conservateur du Québec et d'Adrien Pouliot, donc plus à droite. Cela explique probablement pourquoi je me cherche toujours un peu.
La Boussole me réservait cependant une surprise, la Coalition Avenir Québec et le Parti Libéral du Québec sont pratiquement à égalité! Sans doute pour l'importance qu'ils accordent à l'économie.
Puis, sans surprise, les partis de gauche ne trouvent pas vraiment de résonance chez moi.
Pour m'aider dans ma réflexion, j'ai aussi écouté le débat des chefs et j'ai lu plus attentivement les journaux qu'à l'habitude et regardé davantage les bulletins de nouvelles. De ce côté, rien de vraiment utile. Les candidats s'amusent à ressortir des histoires du passé au lieu de se projeter en avant. Si on passait notre temps à ressasser nos souvenirs du passé, on n'irait pas loin dans la vie. Comme un gars qui s'est fait sacrer là et qui n'est pas capable de passer à autre chose. Ce qui est passé est passé, regardons vers l'avenir. Le même principe devrait s'appliquer en politique. Personne n'est plus blanc que blanc, mais tout le monde peut se recycler et avoir de bonnes idées pour améliorer les choses.
Finalement, aujourd'hui, je suis allée voter. Disons que, depuis le début, mon choix était pas mal fait, mais j'avais voulu confronter mes idées et mon choix, faire un véritable exercice de réflexion.
J'ai voté avec ma tête, comme dirait l'autre. J'ai voté pour la continuité dans mon comté et pour le changement au niveau provincial. Je suis satisfaite de mon vote. Est-ce que c'est un vote stratégique? Est-ce que j'aurai dû voter pour le Parti conservateur du Québec étant donné que ce parti rejoint davantage mes idées? Dans les circonstances actuelles, je ne crois pas. Je pousserai ma réflexion à ce sujet plus tard.
Et justement, dans les circonstances actuelles, ce qui me décourage le plus, c'est de voir que les citoyens disent vouloir du changement, mais que cela ne se reflète pas dans les sondages électorales. C'est de voir jusqu'à quel point les gens sont parfois mal informés, qu'ils se laissent influencer au gré du vent sans être capable de se forger leur propre opinion et d'exposer un véritable argumentaire.
Citoyens, vous n'aurez bientôt plus le droit de vous plaindre si vous ne votez pas pour un réel changement de garde au gouvernement. Vous voulez que certaines situations changent mais vous ne voulez pas perdre certains acquis. Il y a parfois des décisions déchirantes à prendre et je crois que le moment est venu de les prendre!
jeudi 13 mars 2014
Je me cherche politiquement…
Je me suis toujours considérée comme une
personne politisée.
Je viens d’une famille où on parlait
énormément de politique dans les réunions de famille.
J’ai lu les biographies de René Lévesque et de
Mario Dumont.
J’ai flirté avec les idéologies de gauche
quand j’étais étudiante, puis j’ai pris un virage à droite lorsque je suis
entrée sur le marché du travail.
J’ai toujours été fière de faire partie du
Canada. Pour moi, la souveraineté n’est pas une option.
J’avais cru trouver réponse à ma quête
politique dans l’ADQ. J’avais joins les rangs du comité exécutif de mon comté.
Après un blitz d’adrénaline, l’ADQ est morte et je suis devenue orpheline.
Aujourd’hui, je suis toujours intéressée par
la politique, mais je cherche désespérément le parti qui rejoindra le plus mes
valeurs.
Un
constat
Mis à part le poids des médias sociaux, une
campagne électorale se déroule en 2014 comme elle se déroulait au siècle
dernier.
Les candidats se promènent de villes en
villages, de souper en cocktail, en abreuvant les électeurs potentiels de
promesses. « Votez pour moi et je vous bâtirai une route ! » Ils
leur jettent de la poudre aux yeux. Les débats entre candidats sonnent toujours
un peu faux. Du moins, c’est l’impression que j’en ai présentement.
Comment faire autrement ? Il n’y a
peut-être pas d’autre façon...
Du reste, la formule semble fonctionner. Les
citoyens qui se plaignent à l’année longue de la mauvaise gestion
gouvernementale se transforment en électeurs dociles et suivent la vague ou
pire ils se disent trop écoeurés et s’abstiennent de voter.
Oui, je suis un peu découragée devant le
sentiment d’impuissance et de résignation des citoyens qui n’ont pas le courage
de devenir électeurs ou qui sont des électeurs mous.
Parler des vraies affaires
Cette expression est revenue souvent depuis le
début de la campagne.
Je me suis donc demandée : « Quelles
sont les vraies affaires pour moi ? ».
Dans l’ordre et le désordre. Sans
priorisation. Avec des ampleurs différentes. Et j’en oublie peut-être.
-Le principe de l’utilisateur payeur
J’utilise
le transport en commun. Je paie pour le transport en commun.
Je
me pointe à l’urgence, je paie mon ticket modérateur.
Je
suis en prison, je paie pour mon séjour.
-Le transport en commun, ce n’est pas
l’avenir.
Qu’on
arrête de vouloir nous convaincre que ce mode de transport s’adresse aux
familles.
-Le ménage dans le système de santé
Je
paie de mes impôts pour le système de santé, mais je finis par payer pour avoir
accès à des soins plus rapidement (prise de sang, échographie pelvienne, etc.).
Qu’on arrête de
mettre de l’argent dans le système et qu’on mette en place un plan de
redressement visant une meilleure gestion et une plus grande efficacité des
hôpitaux.
Plus de soins à
domicile, plus d’appui aux aidants naturels.
-Le ménage dans les organismes paragouvernementaux
SAAQ, CSST,
Hydro-Québec – combien de citoyens se battent contre ces géants bureaucratiques
et subissent les coups de délais déraisonnables en attente de jugement ?
-Le ménage dans le réseau des garderies
Je
paie de mes impôts pour les garderies à 7$, mais ma fille a fréquenté une
garderie à 20$ et mon collègue de travail vient d’en trouver une à 42$ qu’il
doit payer dès maintenant pour réserver sa place même si son poupon ne la
fréquentera qu’en mai !
-Plus d’anglais de qualité à l’école
Parce que cette langue est universelle et ouvre de nombreuses portes.
We
could be the champion !
-Un réaménagement du temps scolaire
Qu’on
condense l’enseignement des matières essentielles et qu’on laisse de la place
pour des projets spéciaux, de l’activité physique. Bref, à la motivation !
Qu’on
réintroduise les cours d’éducation à la sexualité.
Qu’on
mette en place un véritable cours d’économie et des ateliers débats sur l’actualité
pour enseigner aux jeunes à se forger une véritable opinion.
Accompagnement
des décrocheurs pour les aider à trouver leur voix d’une autre façon que sur
les bancs d’école. Il n’y a pas de modèle unique pour tous.
-Les commissions scolaires ?
Il
y a sûrement moyen de faire un peu de ménage là aussi !
-Non au prix unique pour les livres
Désolée
pour les éditeurs et libraires que je connais mais je connais aussi des gens
qui n’achèteront pas les livres « au prix régulier ». S’ils ne
peuvent l’acheter à rabais, ils ne l’achèteront pas. Bye bye culture ! Il y a tellement peu de
gens qui lisent qu’il ne faudrait pas les décourager en plus.
Et
en passant, on pourrait peut-être enlever la TVQ sur le prix des livres
numériques si on veut vraiment encourager la vente de livres !
-Encourager l’entrepreneuriat et le développement économique
Arrêtons
d’avoir peur d’avoir peur. Pour faire de l’argent, ça prend de l’argent !
Qu’on permette aux investisseurs d’investir au lieu de les décourager. Je pense
ici en particulier aux ressources naturelles et aux investissements privés en
éducation.
J’entends
tout le temps qu’il n’y a pas assez d’esprit d’entrepreneuriat au Québec bien
qu’il y ait des ressources pour les gens qui veulent se partir en entreprise.
Sur le terrain, je ne sens pas de véritable volonté de faciliter les gens qui
veulent se partir en affaires.
D’un
autre côté, il faut cesser de maintenir en vie artificiellement certaines
entreprises à coup de subvention. Oui, à l’aide au démarrage, mais après, fais
tes preuves.
-Établir une durée de prestation maximale pour les assistés sociaux aptes au travail
Pour
éviter ceux qui profitent du système et qui se font vivre avec mes impôts
-Revoir le fonctionnement de l’imposition et de la taxation (lire baisse des impôts et des taxes)
N’y
aurait-il pas un moyen de rassembler toutes les taxes déguisées et de faire un
examen de conscience gouvernemental ?
Je donne 50% de ma
paie au gouvernement, plus une autre proportion part en taxes (TVQ, taxe sur
l’essence, taxe santé, taxe sur l’alcool, immatriculation, permis de conduire,
taxe scolaire, etc.). Après ça, je suis sensée épargner pour mes vieux
jours ! Euh…
-Représentation proportionnelle à l’Assemblée nationale
Pour
avoir une véritable représentation citoyenne
-Élection à date fixe
Pour éviter la
valse des sondages
Immobilisme québécois
Mes vraies affaires, je pense qu’elles sont
aussi les vraies affaires de certaines personnes. On en entend même certaines
sortir de la bouche de certains politiciens. Pourtant, j’ai l’impression qu’elles
ne seront pas très bien représentées lors de la prochaine session
parlementaire. La majorité québécoise se complet dans le statu quo. C’est
devenu inacceptable pour moi, car je ne comprends pas pourquoi. J’ai l’impression
que nous sommes dans une impasse.
Avoir le sentiment de pouvoir changer les choses
J’aimerais avoir le sentiment qu’un engagement
politique permet de changer les choses. Mais je doute. Élection après élection,
tout demeure pareil.
Pire encore, le Québec s’enfonce. J’ai de plus
en plus envie de partir au loin. Certains l’ont déjà fait. Un de mes cousins
habite maintenant Hong Kong, un autre est en Allemagne et un autre est à
Ottawa. Ils ne reviendront pas de sitôt. Ma cousine a « essayé » la
Suisse, est revenue, mais pourrait bien repartir. Je vous ai dis que je venais
d’une famille politisée !
De mon côté, certaines personnes font en sorte
que je reste ici. Je fais mon temps. J’aimerais pourtant participer à un
renouveau. Je ne sens pas de volonté collective d’enclencher l’étape
douloureuse qui permettra de faire naître ce renouveau. Je ne retrouve pas de
parti en mesure de le faire.
Bref, je me cherche politiquement…
vendredi 21 juin 2013
Comment se porte le prêt de livres numériques en bibliothèque au Québec?
Très bien, je pense!
Selon Jean-François Cusson, de l'organisme BiblioPresto, quelque 43 000 exemplaires ont été acquis par les bibliothèques à des fins de prêts depuis le début du projet et ils ont généré plus de 235 000 prêts numériques.
Depuis décembre 2011, le prêt de livres numériques est offert dans certains bibliothèques publiques du Québec via la plateforme pretnumerique.ca, propulsée par De Marque et gérée par BiblioPresto, un organisme mis sur pied par l'Association des bibliothèques du Québec, le Réseau BIBLIO du Québec et Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BANQ).
Lisez la suite sur le blogue Propulsion
Selon Jean-François Cusson, de l'organisme BiblioPresto, quelque 43 000 exemplaires ont été acquis par les bibliothèques à des fins de prêts depuis le début du projet et ils ont généré plus de 235 000 prêts numériques.
Depuis décembre 2011, le prêt de livres numériques est offert dans certains bibliothèques publiques du Québec via la plateforme pretnumerique.ca, propulsée par De Marque et gérée par BiblioPresto, un organisme mis sur pied par l'Association des bibliothèques du Québec, le Réseau BIBLIO du Québec et Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BANQ).
Lisez la suite sur le blogue Propulsion
jeudi 30 mai 2013
Lecture numérique: Martine à la plage de Simon Boulerice
Je viens de terminer la lecture de Martine à la plage de Simon Boulerice paru aux Éditions La Mèche en 2012.
Voici les passages que j'en retiens:
« Mordre dans du melon d'eau, c'est mordre dans de la neige sucrée. C'est comme de la slush bonne pour la santé. »
« Moi, j'ai essayé l'anorexie, mais je n'ai pas été capable.
« La vie s'ouvrait à moi; j'allais devoir porter des lunettes. J'allais me transformer en intellectuelle, avoir des notes élevées et de la profondeur. »
« Chloé est une effeuilleuse de marguerites, mais sans romantisme. »
« Angle mort: personne en vue. Juste une couple de fantômes, that's it. »
Pour savoir où vous procurer le livre en version numérique, cliquez ici.
Voici les passages que j'en retiens:
« Mordre dans du melon d'eau, c'est mordre dans de la neige sucrée. C'est comme de la slush bonne pour la santé. »
« Moi, j'ai essayé l'anorexie, mais je n'ai pas été capable.
« La vie s'ouvrait à moi; j'allais devoir porter des lunettes. J'allais me transformer en intellectuelle, avoir des notes élevées et de la profondeur. »
« Chloé est une effeuilleuse de marguerites, mais sans romantisme. »
« Angle mort: personne en vue. Juste une couple de fantômes, that's it. »
Pour savoir où vous procurer le livre en version numérique, cliquez ici.
Inscription à :
Articles (Atom)